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France-Asie
: Débat sur l'orientation
professionnelle |
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http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40&TOPIC_ID=52&REPLY_ID=22620
Un colloque franco-asiatique sur
l'orientation professionnelle a eu lieu
le 11 janvier à Hanoi. Son objectif était
de discuter des questions de
formation et de développement, des
ressources humaines.
"Quelles orientations pour
l'orientation ? Débats
franco-asiatiques autour d'une question
en construction" constituait le thème
d'un colloque qui s'est déroulé hier
à Hanoi, à l'initiative conjointe de
l'Université nationale de Hanoi et du
Conservatoire national des Arts et Métiers
de France (CNAM). Il s'agit d'une
opportunité, en vue de relayer les
discussions en cours et de sensibiliser
les décideurs et les acteurs régionaux,
à la démarche d'orientation, dans le
cadre du développement économique et
social, propre au Vietnam et aux pays du
Sud-Est asiatique.
Au Vietnam dans les documents officiels
du PCV et du gouvernement, l'accent est
toujours placé sur le rôle décisif
des ressources humaines. L'éducation et
la formation, les sciences et les
technologies sont des priorités des
politiques nationales. "Investir
dans l'éducation, c'est investir pour
le développement". Ce point de vue
constitue une force motrice importante
permettant de former une main- d'oeuvre
qualifiée pour le marché du travail.
Le ministère de l'Éducation et de la
Formation a introduit l'orientation
professionnelle, dès le cycle
secondaire. Pourtant, selon les experts,
la structure des ressources humaines
demeure très peu réaliste, la qualité
laisse encore à désirer. De plus, dans
le processus d'industrialisation et de
modernisation, le Vietnam réajuste la
structure économique dans laquelle on réduit
le taux de l'agriculture et augmente la
proportion de l'industrie et des
services. Ainsi les besoins urgents du développement
socio-économique du pays, la
concurrence cruciale et ardue, exigent
du Vietnam des ressources humaines
qualifiées et bien réparties.
"Nous amenons à ce colloque nos
expériences de réflexion théorique, méthodologique
pour construire des outils spécifiques
à l'orientation professionnelle",
a souligné Laurence Paye-Jeanneney,
administratrice générale du CNAM,
l'institut fondateur de l'orientation
professionnelle dans l'Europe et le
monde.
Une vingtaine d'interventions de
Vietnamiens, éducateurs intéressés
par l'orientation et l'enseignement
depuis des années ont été présentées.
Ils ont proposé des solutions pour
intensifier l'orientation
professionnelles, afin de réduire la
pression sur les concours d'entrée à
l'université, qui enregistrent
annuellement, 90.000 candidats. Ils
s'agit de bien maîtriser l'enseignement
des techniques ou celui industriel,
ainsi que l'orientation professionnelle
où l'enseignement de la culture doit être
lié aux particularités vietnamiennes.
Le contenu de l'orientation
professionnelle doit être compatible
avec les caractéristiques des
technologies mo-dernes du XXIe siècle,
répondant aux objectifs de la
croissance socio-économique et
culturelle du pays. Sans oublier d'acquérir
les théories de l'éducation moderne,
les expériences des pays en matière
d'orientation professionnelle.
Enfin, des experts français,
singapouriens, hongkongais... ont apporté
aux collègues vietnamiens des expériences
dans le domaine de l'orientation
professionnelle. Actuellement, le
Vietnam compte 300 centres techniques spécialisés
dans cette dernière.
Huong Giang
( 12/01/05 )
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Les
services d'assistance à l'industrie ont
la cote |
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http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=38&TOPIC_ID=51&REPLY_ID=22317
Les services d'assistance contribuent au
développement durable des secteurs
industriels, à augmenter leur compétitivité
et à aider les entreprises à se passer
de la sous-traitance.
La réduction du coût de revient
constitue un grand défi pour les
entreprises vietnamiennes dans le
processus d'intégration régionale et
mondiale. Ainsi, les entreprises
domestiques suivent la nouvelle tendance
portant sur l'investissement dans les
services d'assistance à l'industrie
(production de matières premières,
d'accessoires et services de transport).
La Compagnie générale des articles de
textile et d'habillement du Vietnam
(Vinatex) a monté une coentreprise avec
deux partenaires : le groupe américain
OIA Holdings et la compagnie
vietnamienne AA & Logistics. Cette
coentreprise, TriMax Logistics, est spécialisée
dans les transports internationaux
d'articles de textile-habillement.
Chaque année, les frais de transport
sont très élevés. De plus, les
entreprises exportatrices dépendent
largement des transporteurs en ce qui
concerne les délais d'acheminement.
Ainsi, la création d'une société de
transport spécialisée pour le secteur
du textile-habillement devrait aider les
entreprises à garantir les délais de
livraison et réduire les frais. D'où
l'augmentation de la compétitivité des
produits exportés, selon Hô Thu Hà,
directrice de la compagnie de textile
Phuoc Long (Sud). Inaugurée la semaine
dernière, TriMax Logistics a déjà
signé des contrats de transport avec 31
entreprises du secteur.
Dans le cadre du programme de développement
des services d'assistance à
l'industrie, l'Association des
entreprises de textile-habillement du
Vietnam, est sur le point de créer un
centre d'approvisionnement des matières
premières pour le textile-habillement
et les chaussures, explique son président
Lê Quôc An.
Emballages pour l'huile végétale et
les produits laitiers
Après un an de travaux, la compagnie
par actions des emballages pour le
conditionnement de l'huile végétale et
des produits laitiers (V-Pack), a été
récemment inaugurée. Dotée d'un
capital statutaire de 76 milliards de dôngs,
elle est le fruit d'une coopération
entre la compagnie de l'huile végétale,
des arômes et des produits cosmétiques
du Vietnam (Vocarimex) et la compagnie générale
des produits laitiers du Vietnam
(Vinamilk). V-Pack est équipée d'une
chaîne à technologie japonaise et elle
sera en mesure de répondre à 60 % des
besoins en emballages, des entreprises
de production d'huile végétale et de
produits laitiers. A elles seules, les
usines d'huile végétale relevant de
Vocarimex produisent annuellement
216.000 tonnes. Elles ont donc besoin
d'un important volume d'emballages
(bouteilles en plastique, boîtes en
carton). La tendance consistant à
investir dans les services d'assistance
à l'industrie est marquée également
dans d'autres secteur : automobile,
construction navale et production électronique.
Minh Hoa/CVN
( 29/12/04 )
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Des
études de niveau international au
Vietnam |
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http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40&TOPIC_ID=52&REPLY_ID=22293
Désormais, en restant au Vietnam, vous
êtes assurés de bénéficier de
l'enseignement d'écoles prestigieuses
dans le monde. Des formations efficaces
et des frais moindres, tels sont les
quelques avantages de ce modèle proposé.
C'est la première fois que le programme
de formation universitaire (licence),
analogue à celui de l'Université américaine
Troy State (UTS) est mis au point au
Vietnam. Il est le fruit d'une coopération
entre l'UTS, l'Université nationale et
l'Institut polytechnique de Hanoi.
L'UTS, créée en 1887, est une des
universités parmi les plus
prestigieuses aux États-Unis, appréciée
pour ses programmes et ses méthodes de
formation.
La première promotion s'est ouverte en
octobre dernier, à Hanoi. Elle propose
un certain nombre de formations :
informatique, marketing, commerce
international, communication, gestion
des ressources humaines. À l'issue de
leurs études, les étudiants recevront
un diplôme délivré par l'UTS.
Les personnes qui désirent suivre ce
programme ne sont pas obligées de
passer des examens, mais devront subir
un test. Une promotion dure trois ans et
demi et se divise en deux phases, dont
chacune comprend cinq trimestres. Après
la fin de la 1ere phase, disposant de
connaissances générales, les étudiant
peuvent poursuivre la deuxième, destinée
à former dans des domaines spécialisés,
à l'UTS aux États-Unis ou dans les
filiales de l'UTS, implantées dans une
dizaine de pays.
Si les étudiants suivent la totalité
de leur formation au Vietnam, les frais
d'études sont moins élevés, alors
qu'ils bénéficient d'une formation
aussi efficace que ceux qui poursuivent
leurs études aux États-Unis. Ainsi, le
coût est de 13.000 dollars au Vietnam
pour l'ensemble du programme, contre
80.000 dollars aux États-Unis. Les étudiants
peuvent prétendre à une bourse, s'ils
obtiennent d'excellents résultats lors
du concours d'admission, ou lors de
leurs études. Ils peuvent également bénéficier
d'une aide au cas où ils rencontrent
des difficultés financières.
Une autre adresse s'offre à ceux qui
veulent mieux connaître le domaine des
technologies informatiques aux normes de
Houston Cummunity College System
(HCCS-Etats-Unis). C'est Saigon Tech,
une filiale de HCCS, implantée à Hô
Chi Minh-Ville. L'enseignement étant
assuré en anglais, les candidats
doivent disposer d'au moins 550 points
de TOEFL. Sinon, ils suivront un an
d'anglais, avant d'entreprendre des études
en informatique. Après avoir achevé
leur programme à Saigon Tech, ils
peuvent poursuivre leurs études à HCCS
ou dans n'importe quelle université aux
États-Unis.
Apprendre
l'anglais dans un espace autochtone
Vous désirez apprendre l'anglais dans
un "environnement autochtone".
Cleverlearn Vietnam est parfaitement
adapté. Ce centre relève du réseau
Cleverlearn New York, qui a ouvert sa
filiale à Hô Chi Minh-Ville. Il
envisage une prochaine ouverture à
Hanoi. Cleverlearn applique une méthode
d'enseignement moderne, associée à des
cours en classe et d'une pratique très
efficaces, sans oublier l'appui d'outils
pédagogiques modernes. Il propose des
promotions de différents niveaux :
CleverClass (anglais général),
CleverBusiness (anglais commercial),
CleverKids (anglais pour les enfants de
7 à 12 ans), CleverTeens (pour les
minimes) et CleverTests (entraînements
pour passer les examens de TOEFL, TSL,
IELST).
Thuc Hiên/CVN
( 28/12/04 )
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http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40
Dix écoles pour former des salariés à l'étranger
L'État va procéder à la remise en état et à la
construction de dix centres de formation
professionnelle. Les travaux coûteraient 875 milliards
de dôngs. Ces centres seront spécialisés dans des
enseignements sur le court et le long termes, à
l'intention des Vietnamiens devant travailler à l'étranger.
( 20/12/04 )
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La
porte est largement ouverte pour étudier
en France |
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http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40&TOPIC_ID=52&REPLY_ID=21956
Dès 8h 30, samedi dernier 11 décembre,
le centre des conférences
internationales au 11, Lê Hông Phong
était déjà noir de monde. Des jeunes,
des moins jeunes avec sac à dos, ainsi
que de nombreux parents d'élèves se
rendaient au salon "Étudier en
France".
Comme bien d'autres qui rêvent de
poursuivre des études dans l'Hexagone,
un pays illustré par la qualité de sa
formation et celle de sa vie, Trân Thu
Thuy était présente afin de chercher
une occasion de poursuivre des études
post-universitaires. "J'ai déjà
suivi des études universitaires à
Paris I, il y a quelques années"
explique-t-elle. Pour cette 6e édition
du salon annuel, je recherche une
bourse, me permettant de continuer mon
DESS (diplôme d'études supérieures spécialisées),
dans le domaine des finances". Un
domaine dans lequel elle s'est lancée,
à Paris I.
Quant à Mme Phuong, elle s'est rendue
au salon, pour chercher des informations
sur une université, pour sa fille Vu
Tuong Vân. Cette élève du lycée Chu
Van An à Hanoi, s'apprête à passer le
Bac. "Comme ma fille apprend le
français, je suis à la recherche d'une
école supérieure dans un domaine se
rapportant aux sciences sociales, dès
sa sortie du lycée. Selon elle, la
qualité de la formation et des frais d'études
raisonnables sont les deux raisons qui
me font choisir la France",
explique Mme Phuong.
L'édition 2005 de ces salons à Hanoi
et à Hô Chi Minh-Ville, en prenant
davantage d'ampleur, permettent cette
année aux étudiants vietnamiens de
rencontrer 43 représentants du monde de
l'enseignement. Sur le total, 30
institutions francophones ou établissements
franco-vietnamiens participent à ce
programme d'information, et présentent
lors de ce salon, d'importants projets
de coopération auxquels se sont associés
des institutions françaises qui offrent
des spécialisations dans des domaines
variés (sciences de l'ingénierie,
gestion, enseignement du français de spécialité,
etc).
Pour l'année universitaire 2003-2004,
la France a accueilli environ 3.200 étudiants
vietnamiens. Cette progression de 30 %
par rapport à l'année précédente,
permet à la France de se situer parmi
les trois premiers pays d'accueil, de la
future élite vietnamienne.
Le même salon se
tient aujourd'hui à l'hôtel
Equatorial, 242 Trân Binh Trong,
arrondissement V, Hô Chi Minh-Ville, de
9 h à 19 h 30.
Thu Trang
( 14/12/04 )
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Actuellement,
le nombre d'étudiants et d'élèves qui
font des études à l'étranger a
tendance à augmenter. Pour les gérer,
le Premier ministre a publié tout récemment
une directive sur ce problème.
Le Vietnam compte à l'heure actuelle
plus de 40.000 étudiants à l'étranger.
Parmi eux, 5.000 sont bénéficiaires de
bourses de l'État et d'accords passées
entre le gouvernement vietnamien et ceux
des pays concernés alors que les autres
s'autofinancent. Face à l'augmentation
des départs universitaires pour l'étranger,
le Premier ministre a publié une
directive sur la gestion des étudiants
vietnamiens à l'étranger.
Selon Nguyên Ngoc Hung, chef-adjoint du
Service de coopération internationale
(ministère de l'Éducation et de la
Formation), depuis l'année 2000, le
ministère a mis l'accent sur les études
à l'étranger financées par des
bourses de l'État. Maintenant, 120 étudiants
de la première promotion sont revenus
au Vietnam dont 105 avec une mention
bien en poche. Quand à ceux ayant pu
partir grâce aux contrats de coopération
de l'État, ils sont près de 95 % à
revenir au pays. S'ils choisissent de
rester dans le pays des études, c'est
souvent pour y travailler ou prolonger
leurs études. Un petit nombre choisit
aussi de s'installer en Europe pour
faire du commerce. Pourtant, le nombre
de personnes qui reviennent au Vietnam a
tendance à augmenter. D'ailleurs, au
cours des huit premiers mois de l'année,
600 personnes sont déjà de retour au
Vietnam contre seulement 120-130 en
2003.
Assurer les intérêts
des étudiants
Le phénomène des étudiants
s'autofinancant pour partir étudier à
l'étranger a pris de l'ampleur dans les
années 2000 lorsque les lois
vietnamiennes sur l'immigration ont évolué.
Désormais, un citoyen vietnamien qui
est accepté par une université étrangère
et qui obtient le visa du pays par lui même
est autorisé à sortir du territoire
sans demander l'autorisation du ministère
vietnamien de l'Éducation et de la
Formation. Leurs motivations sont généralement
scolaires, ils souhaitent avant tout
obtenir des diplômes étrangers dans
des domaines bien particuliers et
techniques. Ils se concentrent
uniquement à leurs études et souvent
les mènent de fort belle manière.
La naissance de cette directive sur la
gestion des étudiants à l'étranger a
pour but de protéger les intérêts des
étudiants, à bien comprendre le
processus des études, le sentiment, le
comportement pour l'oeuvre
d'industrialisation et de modernisation
du pays. De plus, ils représentent un
lien pour favoriser les activités de
solidarité avec les Viêt Kiêu.
Pour réaliser cette directive, le
ministère va s'appuyer sur les
renseignements fournis par les Services
de l'éducation et de la formation et
les établissements scolaires. Quand au
ministère de la sécurité publique, il
aura pour tâche de se renseigner auprès
des anciens étudiants sur les
programmes, la durée, le lieu des études.
En effet, durant ces dernières années,
les étudiants se sont concentrés en
premier dans la gestion et le commerce,
la technologie et l'informatique, la
mode. L'ensemble de ces renseignements
servira à collecter des informations nécessaires
aux orientations de l'État pour développer
les autres branches.
DANG HUE/CVN
( 14/12/04 )
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"
Parmi les ressources nationales, la
main-d'oeuvre représente un facteur décisif
pour la prospérité du pays. Ainsi,
pour le PC et l'État vietnamiens, la
formation et l'éducation constituent
deux préoccupations", a déclaré
le président de la République, Trân
Duc Luong, lors du premier congrès
national des familles studieuses.
Ce dernier, ouvert le 10 décembre à
Hanoi, à l'initiative de l'Association
de promotion des études du Vietnam, a réuni
plus de 300 délégués exemplaires du
pays.
La campagne "Famille
studieuse" a été lancée il y a
près de 2 ans. Elle a permis de
valoriser la propension de la
population, à faire des études.
"Cette campagne est devenue un phénomène
qui influe l'éducation dans le
pays", s'est félicité Vu Oanh, président
de l'Association de promotion des études
du Vietnam. Le titre de "Famille
studieuse" est décerné en
fonction de trois critères : réussite
des enfants dans leurs études, volonté
des membres de la famille de se
perfectionner professionnellement et
moralement, et enfin l'action de chaque
membre de la famille en faveur de la
promotion des études. Ce titre a déjà
été remis à des dizaines de familles
du pays, a-t-il annoncé.
Au Congrès, le Premier ministre Phan
Van Khai a salué l'initiative de lancer
cette campagne et d'organiser ce premier
congrès national, tout en estimant
qu'une famille férue d'études, une
famille culturelle jetterait les
fondations pour construire une société
moderne et saine. Le chef du
gouvernement a demandé aux sections du
PCV, aux autorités locales et à
l'ensemble de la société de matérialiser
les solutions avancées par l'Assemblée
nationale lors de sa 6e session (XIe législature).
Enfin, le secrétaire général du PCV,
Nông Duc Manh, a adressé au congrès
une lettre de félicitations.
Dô Tuân Cuong/CVN
( 13/12/04 )
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Vietnam-France : Deux projets en
matière de coopération universitaire
http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40
Des réunions des Comités d'évaluation et
d'orientation de deux projets de coopération
universitaire, conclus entre la France et le Vietnam
se sont déroulés à Paris. Il s'agissait tout
d'abord du projet sur le Centre franco-vietnamien de
formation à la gestion (CFVG). Créé en 1992, sa
mission consiste à former au management, les décideurs
et les gestionnaires. L'autre portait sur le Programme
de formation d'ingénieurs d'excellence au Vietnam
(PFIEV), qui fédère l'expertise du pays depuis 1997.
( 09/12/04 )
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Vietnam-Belgique
: Renforcement de la coopération
dans l'éducation et la
formation |
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http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=14&NEWSPAPER_ID=34&TOPIC_ID=14&REPLY_ID=18107
Un mémorandum portant sur un
programme d'octroi de bourses d'études
de la Belgique aux étudiants
vietnamiens a été signé le 11
juin, à Hanoi, par Marcus
Leroy, conseiller chargé de la
coopération pour le développement
de l'ambassade de Belgique et Trân
Van Nhung, vice-ministre
vietnamien de l'Éducation et de
la Formation.
Aux termes de ce document, la
Belgique décide d'accorder cinq
bourses d'études, d'une valeur
unitaire de plus de 15.000
dollars, pour des étudiants
vietnamiens. Les bénéficiaires
suivront des cours en ingénierie
des systèmes industriels à
l'Institut asiatique de
technologie (AIT en anglais) en
vue d'obtenir le grade de mastère.
Ces étudiants ont été sélectionnés
par l'AIT et le ministère de l'Éducation
et de la Formation parmi 47
candidats. Les boursiers feront
des études pendant dix mois au
Centre de l'AIT au Vietnam
(AITCV en anglais) et suivront
ensuite des cours en Thaïlande,
pendant un an, à l'AIT.
"Il s'agit de la deuxième
fois que ce programme de coopération
a été mis en oeuvre, portant
à dix le nombre de bénéficiaires
depuis 2003. Ce programme de
coopération tripartite (ledit
ministère, l'ambassade belge et
l'AIT) contribuera pour une part
importante à renforcer la coopération
entre la Belgique et le Vietnam
dans le domaine de l'éducation
et de la formation" a
remarqué Trân Van Nhung, lors
de la cérémonie.
Selon le professeur Nguyên Công
Thành, directeur de l'AITCV, la
faculté de formation en ingénierie
des systèmes industriels à
l'AIT constitue l'une des sept
facultés de prestige dans la région
et dans le monde qui sont spécialisées
dans la formation en technologie
pour la production. De 1994 à
1997, le Vietnam a recensé 70
étudiants qui ont bénéficié
de bourses. En outre, le
gouvernement belge a envoyé
plusieurs professeurs au Vietnam
pour enseigner à l'AITCV.
Thanh Tuê
( 20/06/04)
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Bourses espagnoles pour la formation
post-universitaire
http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40
L'ambassade d'Espagne à Hanoi vient de faire part
d'un programme boursier d'études destiné aux jeunes
espagnols et étrangers. Ces bourses pour l'année
scolaire 2005-2006 sont destinées aux étrangers pour
leurs études en Espagne et aux jeunes espagnols pour
leurs études à l'étranger. La sélection des
dossiers dure du 14 octobre au 31 décembre. Pour de
plus amples informations, vous connectez au site www.becasmae.es |
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Deux écoles françaises aident à
former des techniciens
http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40
Le collège de l'industrie de Hô Chi Minh-Ville vient
de collaborer avec deux écoles françaises : La
Martinière Terreaux et La Martinière Monplaisir dans
la formation de techniciens. Ainsi, les deux écoles
cherchent à développer deux branches en y assurant
une formation: les techniques du commerce et celles de
la chaîne du froid. Elles ont également accordé une
subvention de 500.000 dollars pour la fourniture des
équipements et la formation des maîtres |
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Vietnam-Australie
: L'apprentissage, un des axes de la coopération |
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http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40&TOPIC_ID=52&REPLY_ID=21014
Mme Lynne Kosky, ministre de l'Éducation
et de la Formation de l'État de Victoria
de l'Australie est arrivée la semaine
dernière au Vietnam. L'objectif de sa
visite est de chercher à renforcer la
coopération dans le domaine éducatif
entre les deux pays.
"Je veux étudier les programmes d'études
et les méthodes pédagogiques des écoles
vietnamiennes", a expliqué Mme Lynne
Kosky au journal Tin tuc. D'autre part,
elle participera à des séances de
travail avec des officiels du Vietnam afin
d'impulser la coopération dans l'éducation
et la formation.
Concernant le cycle secondaire, la partie
australienne discute avec les écoles
vietnamiennes sur le contenu et les méthodes
pédagogiques. Pour la formation
professionnelle, l'État de Victoria
envisage d'organiser des stages pour les
enseignants et le personnel administratif
des écoles afin de les aider à se
familiariser avec un modèle
d'enseignement et de gestion des établissements
d'apprentissage. "Nous accordons des
aides à la formation professionnelle au
Vietnam", a affirmé Mme la ministre
à l'issue de sa séance de travail avec
le ministère du Travail, des Invalides de
guerre et des Affaires sociales.
Concernant le cycle universitaire, la coopération
entre les universités des deux pays
s'annonce prometteuse grâce à
l'université internationale RMIT implantée
au Vietnam. En outre, les établissements
universitaires des deux pays peuvent décider
des jumelages et des échanges d'étudiants.
Pour l'heure, le vietnamien est une langue
enseignée dans tous les cycles. Le
vietnamien est la 5e langue la plus
choisie par les étudiants parmi les 48
langues enseignées en Australie.
Inauguration d'une
école internationale de pâtisserie
Un centre d'apprentissage de la pâtisserie,
financé par l'Australie (100.000
dollars), vient d'être inauguré à Hô
Chi Minh-Ville en présence de Mme Lynne
Kosky. Ce centre est le fruit d'un
partenariat entre l'université
internationale RMIT Vietnam et AWB
(Australian Wheat Board), un fournisseur
de blé de premier rang mondial. Il
dispose d'équipements modernes, et est
implanté dans les locaux de RMIT à Hô
Chi Minh-Ville.
C'est la première fois qu'un projet de
partenariat dans l'apprentissage de la pâtisserie
se met en place dans le sud-est asiatique.
AWB distribuera machines, équipements,
experts et matières premières. Quant à
RMIT, elle se chargera des lieux d'étude,
des enseignants et de l'attribution des
certificats qui concerneront plusieurs
domaines : transformation alimentaire
(pains et gâteaux) et confiserie, ainsi
que d'autres formations à court terme.
Vuong Linh/CVN
( 01/11/04)
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Des
directeurs d'écoles formés à la gestion financière |
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http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40&TOPIC_ID=52&REPLY_ID=20960
Environ 4.000 directeurs et chefs comptable des collèges et
lycées étatiques des provinces de Thai Binh, Yên Bai,
Thua Thiên-Huê et Hoà Binh ont été formés à la
gestion financière. Il s'agit de cours expérimentaux mis
en oeuvre depuis un an grâce à l'assistance de la
Commission européenne (CE). C'est aussi l'un des objectifs
du projet de support au ministre de l'Éducation et de la
Formation financé par la CE.
"Les premiers fruits apportés par ce projet ces
derniers temps consistent à aider au renouvellement de l'établissement
du plan, de la répartition et de la diffusion du budget
dans l'éducation. C'est un point faible de la plupart des
gestionnaires éducatifs vietnamiens", souligne Pham Dô
Nhât Tiên, co-directeur du projet.
Les intervenants sont sélectionnés parmi les chefs
comptables des Services et Bureaux de l'éducation et de la
formation des villes et provinces. Grâce à leur expérience,
ces intervenants répondent aux besoins des stagiaires. Les
formations sont ainsi plus efficaces.
Lors de ces cours, les stagiaires apprennent les techniques
fondamentales concernant la gestion financière dont l'établissement
du statut des dépenses, de la comptabilité, dans les écoles.
À partir des résultats des cours expérimentaux, la
formation élargie sera effectuée dans les provinces
restantes à partir de l'année prochaine.
Huong Giang
( 28/10/04)
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Vers
une meilleure formation professionnelle |
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http://lecourrier.vnagency.com.vn/default.asp?CATEGORY_ID=16&NEWSPAPER_ID=40&TOPIC_ID=52&REPLY_ID=21145
Hô Chi Minh-Ville a établi un
partenariat avec d'autres localités pour
former la main-d'oeuvre. Cela devrait
permettre d'éradiquer la pénurie de
travailleurs qui frappe la plupart des
entreprises des provinces du Sud.
Le marché de la main-d'oeuvre de Hô Chi
Minh-Ville, des villes et provinces du
sud-est et du delta du Mékong est
maussade. Les zones industrielles (ZI) se
heurtent à une grave pénurie de
travailleurs. Des salons pour l'emploi ont
été organisés afin de sélectionner des
travailleurs. À la rubrique "offres
d'emploi" des journaux de petites
annonces, certaines entreprises essaient
par tous les moyens d'attirer des
travailleurs : salaire élevé, aides au
logement, défraiement pour la nourriture
et congés séduisants. Malgré tous ces
efforts, les employeurs ne sont pas récompensés.
En raison de leur rythme de croissance
rapide, les provinces de Dông Nai et Binh
Duong ont besoin de beaucoup de
travailleurs. Les entreprises doivent
faire face à une pénurie de
main-d'oeuvre. Dans les zones
industrielles et les établissements
nouvellement créés de Dông Nai, environ
100.000 ouvriers font encore défaut. La
situation est la même dans la province de
Binh Duong qui doit embaucher 30.000
travailleurs non qualifiés supplémentaires.
Bien qu'un tapis rouge soit déroulé sous
les pas des ouvriers, ces deux provinces
n'arrivent pas à trouver la main-d'oeuvre
que réclament les entreprises
vietnamiennes et étrangères.
La situation n'est pas meilleure dans la
province de Long An. "Nous insistons
pour faire venir des investisseurs étrangers.
Mais une fois que l'usine est inaugurée,
les investisseurs ne trouvent pas
suffisamment de travailleurs pour la faire
fonctionner. On ne peut pas fermer l'usine
et les investisseurs sont obligés
d'embaucher des ouvriers chinois",
souligne Cao Van Thu, directeur adjoint du
Service provincial du travail, des
invalides de guerre et des affaires
sociales. La crise de la main-d'oeuvre
formée touche aussi les provinces de Lâm
Dông (hauts plateaux du Centre), Dông
Thap, Tiên Giang et Vinh Long (delta du Mékong).
Les ressources actuelles en travailleurs
ne répondent pas aux besoins de l'économie
de ces provinces qui se diversifie et se
tourne vers les services.
Aligner
l'apprentissage sur celui de HCM-Ville
Aligner la formation professionnelle dans
les provinces sur celle de Hô Chi
Minh-Ville pour avoir des travailleurs
qualifiés est une solution destinée à régler
la pénurie de main-d'oeuvre. La province
de Dông Nai a demandé à la mégapole du
Sud de former immédiatement 1.000 mécaniciens
qualifiés. Les provinces de Lâm Dông,
Binh Dinh, Long An envisagent aussi d'établir
un partenariat avec la mégapole du Sud
pour l'ouverture de cours d'apprentissage
professionnel. Ce partenariat permettra
non seulement aux provinces situées dans
la zone économique clé du Sud de faire
face à la pénurie de main-d'oeuvre, mais
aussi de développer le marché de
l'emploi en vue de réaliser des objectifs
communs, souligne M.Cao Van Thu.
Hô Chi Minh-Ville dispose aujourd'hui de
250 centres d'apprentissage professionnel
qui forment chaque année, 200.000
ouvriers. Sans compter les établissements
qui ne sont pas encore exploités. Hô Chi
Minh-Ville est prête à coopérer avec
d'autres localités pour la formation
professionnelle. La ville va ainsi sélectionner
des écoles réputées pour assurer une
formation sur commande à des métiers
traditionnels (mécanique) ou innovants (électronique,
informatique, etc).
Manque de logement
pour les ouvriers
Les conditions de vie difficiles des
ouvriers dans les ZI sont une des causes
de la pénurie de main-d'oeuvre. Ces
derniers vivent dans des chambres étroites
sans télévision, radio, journaux,
livres. La province de Binh Duong, considérée
comme pionnière en matière de logements
ouvriers, ne met que 26.000 m² à
disposition de 5.000 ouvriers. Le faible
salaire oblige aussi les ouvriers à
partager leur logement. Hô Chi Minh-Ville
qui compte trois zones franches et onze
zones industrielles, n'a signé qu'à la
fin de l'année dernière le plan de
logement des ouvriers des ZI. Enfin, très
peu d'entreprises s'intéressent au
soutien psychologique des ouvriers.
Synthèse de Huong
Giang
( 05/11/04)
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